
Avant-propos
L'humanité a toujours été préoccupée par le besoin de trouver des moyens et les mécanismes non évidents pouvant permettre la bonne entente entre les hommes, promouvoir la coexistence pacifique entre les communautés en réglant de manière non violente les conflits pouvant surgir entre elles d'où les conseils de familles, les palabres, les mariages interethniques ou inter claniques, les commisions des sages etc; Mais si ces moyens pouvaient fonctionner pour des sociétés plus ou moins homogènes, les choses ont eu des complications avec le modernisme et les différentes rencontres entre différentes culture.
Tenant compte du souci de la plenière de l'Assemblée siègeant en date du 14 Juillet 1992 de mettre en exécution certaines résolutions de ces assises, et après présentation des candidatures par les ONG's présentes au bureau de la Conférence, le passage en revue des critères de selection et l'aval de l'Assemblée plénière, Ainsi après que les Nations se soient affrontées et entredéchirées, la seconde guerre mondiale inspira la création de l'organisation des Nations Unies ou les humains pouvaient s'asseoir pour régler leurs différends de façon pacifique et cela conduisit à la mise sur pied d'une charte qui commence ainsi ; « nous, peuples des Nations Unies, résolus à préserver les générations futures du fléau de la guerre etc. »
Et cela fut rejoint par l'acte constitutif de l'UNESCO, l'une des branches des Nations Unies et qui stipule que les guerres prenant naissance dans l'esprit des hommes, c'est dans l'esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la Paix, il faut promouvoir la paix et bâtir une culture de la paix. Mais hélas depuis 1945, il fallait attendre encore 45 ans après, à Yamoussoukro (Côte d'ivoire) en Afrique pour constater dans la déclaration clôturant les travaux du Congrès sur la Paix ou nous étions invité comme chercheur resurgir dans un document officiel, le terme culture de la paix.
Mais après c'était l'ombre de la nuit où l'on reviendra sur ses chapelets des bonnes intentions, avec la politique de la terre brûlée, la loi du plus fort et les révolutions des Palais. C'est ainsi que réunis à Genève en Suisse, les organisations non gouvernementales de développement, les Agences bénévoles internationales, les organisations d'appui au maintien de la paix internationale, quelques cadres représentants les structures additionnelles des Nations Unies, certains officiels représentants des Etats, des personnalités du monde scientifique, tous sur initiative de la Fondation internationale Pax-Caritas présente dans l67 pays dans le monde sous développé, et nous avions pris part à ces assises comme délégué représentant la République du Zaïre.
Après avoir soutenu et défendu l'option levée par les délégués à ces assises sur la prévention des conflits et le maintien de la paix dans le monde pour occasionner un développement harmonieux, à la base notre intervention nous valût la gloire d'être désigné par l'assemblée pour créer un réseau qui devra désormais canaliser les efforts et actions de tous les artisans de la paix dans le monde pour leur visibilité, de le coordonner et d'en faire rapport au Conseil de sécurité via le secrétariat général des Nations- unies et cela considéré comme notre apport à la paix mondiale pour laquelle ses structures représentant les Etats existent.
L’Assistance chrétienne au centre de l’Afrique A.C.C.A en sigle ayant à cette époque son siège international provisoire en République du Zaïre, Etat membre des Nations Unies, saisira cette opportunité qui rencontra le volet 3 de ces objectifs qui évoquent l'appui à la paix pour mettre en musique, un réseau des ambassadeurs universels de la paix qu'on appellera « Ambassadeurs universels de la paix et qui ont comme mission primordiale de travailler pour qu'émerge la culture de la paix dans le Monde » , socle de tout développement.